Il y a des jours où je ressens un irrépressible besoin d'une cigarette. Des jours où je me retrouve à errer en ville sans but précis, juste pour évacuer le stress, juste pour oublier ce qui me tracasse et marcher mon quota de la journée.
Au fur et à mesure que mes pas foulent le goudron, au fur et à mesure que ma cigarette se consume, mes soucis s'échappent dans l'expiration de ma dernière bouffée. Les volutes laissant la lumière les traverser, lentement se mêlant à l'air chaud ambiant puis s'évaporant, me laissant rentrer à la maison comme si de rien n'était.
[mc4wp_form id= »140″]