Il y a deux sortes de paresse, la physique et l'intellectuelle. J'ai souvent la flemme par manque d'envie ou bien d'inspiration ou pire de motivation. Le plus souvent j'essaie de me motiver, j'essaie de me répéter une sorte de comptine et si j'ai bien noté une chose, si je mets « je dois » avant une tâche à exécuter, ma motivation s'évanouit. Je crois bien avoir un rapport compliqué avec l'autorité, et même si c'est la mienne.

Nous sommes tous victime des pêchers capitaux.

En effet, ce sont tous des travers lié intrinsèquement à notre part animale. On ne peut s'en séparer, on ne peut qu'atténuer nos instincts primitifs. Le problème avec la paresse, c'est qu'elle est à la fois vecteur d'améliorations mais aussi peut avoir un impact très négatif.

Je m'explique.

Par paresse, l'homme a inventé les outils, en effet c'est laborieux de tout faire à la main, on a même fini par industrialiser beaucoup de nos tâches. On devient plus efficace et ainsi on peut prendre du temps pour autre chose. Beaucoup de choses ont remplacer nos petites mimines avec le temps et ce pour notre plus grand confort.

D'une certaine façon, notre paresse a éveillé notre ingéniosité.

En revanche, il n'y a pas que de bons points. Je me suis plaint il y a un bon moment du manque de culture dont fait preuve les gens. En effet, à l'ère du tout numérique, à l'heure où j'écris, on peut trouver tous les ouvrages de l'humanité facilement et en libre d'accès, partout y compris sur le web. Et pourtant ! Le manque d’intérêt pour ce genre de choses n'est pas tant lié aux goûts de la population mais plutôt lié à de la paresse intellectuelle.

C'est chiant de lire certains livres.

« Le Capital » est une vraie plaie par exemple, et pourtant je serais prête à mettre ma main au feu que bon nombre encartés dans les divers partis socialistes sur le globe ne l'ont jamais lu. Bien entendu, il est possible que ce n soit pas accessible à tous intellectuellement. On ne peut commencer des lectures en cherchant à lire les écrits les plus pointus d'emblée. La lecture tout comme d'autres disciplines s'apprend. Petit à petit, on découvre du vocabulaire, on se fait aux styles, on apprécie.

Mais c'est fatiguant !

L'être humain a toujours la fâcheuse tendance d'emprunter les raccourcis sans vouloir arpenter les sentiers qui se trouvent parfois escarpés. Toutefois, ce qu'il oublie c'est que ce n'est pas tant la destination qui compte mais bien le voyage.

Stylecard

Ce que je porte/ What I am wearing:
  • Tête/ Head: LeLUTKA Ceylon Head 3.1
  • Lelutka
  • Corps/ Body: *PRIMA* Femme Elite v1.0.220825 (Petite version)
  • Prima
  • Lingerie: L.I.C Mia « Celeste Lingerie »
  • L.I.C Marketplace
  • L.I.C

 

 

 

 

 

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